Cécile, 29 ans, Maryline, 30 ans et Virginie, 36 ans, sont des mamans accomplies.
D’ailleurs, leurs bouts de chou ne les quittent pas d’une semelle. On voit qu’elles ont la fibre parentale. C’est d’ailleurs peut-être pour cela qu’elles se sont lancées dans un projet qui leur a pris plus d’une année à aboutir.
Depuis hier, la maison d’assistantes maternelles (Mam) Les petits pieds a ouvert ses portes à Mignattaghja. Et on peut dire que l’idée est arrivée avec le besoin. "Nous ne trouvions pas à faire garder nos enfants alors le projet s’est concrétisé", explique Cécile, également belle-sœur de Virginie, assistante maternelle de métier. En tout, la structure de 100 m2 peut accueillir huit enfants simultanément. "Nous avons des règles à respecter alors c’est 10 m 2 par enfant", indique Marilyne.
D’ailleurs, leurs bouts de chou ne les quittent pas d’une semelle. On voit qu’elles ont la fibre parentale. C’est d’ailleurs peut-être pour cela qu’elles se sont lancées dans un projet qui leur a pris plus d’une année à aboutir.
Depuis hier, la maison d’assistantes maternelles (Mam) Les petits pieds a ouvert ses portes à Mignattaghja. Et on peut dire que l’idée est arrivée avec le besoin. "Nous ne trouvions pas à faire garder nos enfants alors le projet s’est concrétisé", explique Cécile, également belle-sœur de Virginie, assistante maternelle de métier. En tout, la structure de 100 m2 peut accueillir huit enfants simultanément. "Nous avons des règles à respecter alors c’est 10 m 2 par enfant", indique Marilyne.
Presque une affaire de famille
Et si le projet est arrivé à son terme, c’est aussi parce que les trois amies ont pu compter sur leurs époux, tous artisans. "Sans eux, nous n’aurions pas pu, avoue Cécile. Ils se sont complètement investis avec nous et c’est un peu aussi à eux que l’on doit cette réussite."
L’un est électricien, l’autre plaquiste et le dernier maçon, de quoi réduire considérablement les dépenses de main-d’œuvre. "Cela nous a coûté 7 000 euros. Et nous n’avons bénéficié de l’aide d’aucune banque", précise Virginie. En plus, le local appartient au beau-père de Virginie et Cécile.
Quant au résultat final, il vaut le détour. On se croirait dans le décor d’un dessin animé. Tout est propre, neuf, bien rangé. Rien ne dépasse. "Quand on aime ce qu’on fait, on le fait bien. Et quand on laisse ses enfants quelque part, on aime qu’ils soient bien accueillis", expliquent-elles.
Dans la salle de change, les petits casiers au nom des bambins sont déjà en place. "On a vraiment hâte d’ouvrir là. On est passé par la période de la mise en place du projet, ensuite par les travaux et maintenant, il ne nous reste plus qu’à profiter", confient-elles.
Et même si la Mam n’a ouvert ses portes qu’hier, elle affiche déjà complet. Une belle réussite pour trois amies passionnées !
L’un est électricien, l’autre plaquiste et le dernier maçon, de quoi réduire considérablement les dépenses de main-d’œuvre. "Cela nous a coûté 7 000 euros. Et nous n’avons bénéficié de l’aide d’aucune banque", précise Virginie. En plus, le local appartient au beau-père de Virginie et Cécile.
Quant au résultat final, il vaut le détour. On se croirait dans le décor d’un dessin animé. Tout est propre, neuf, bien rangé. Rien ne dépasse. "Quand on aime ce qu’on fait, on le fait bien. Et quand on laisse ses enfants quelque part, on aime qu’ils soient bien accueillis", expliquent-elles.
Dans la salle de change, les petits casiers au nom des bambins sont déjà en place. "On a vraiment hâte d’ouvrir là. On est passé par la période de la mise en place du projet, ensuite par les travaux et maintenant, il ne nous reste plus qu’à profiter", confient-elles.
Et même si la Mam n’a ouvert ses portes qu’hier, elle affiche déjà complet. Une belle réussite pour trois amies passionnées !