Une belle journée sur les rives de l'étang de Palu a permis aux élèves de la classe bilingue de M.Luzi de découvrir les différentes espèces présentes sur le site. Grâce à l'intervention de M.Sinibaldi, agent du parc naturel régional service éducation, la promenade a été des plus instructive.
En effet, le jeune public a mieux appréhendé le site de l'étang de PAlu, d'une superficie DE 212 ha, et qui s'inscrit dans une série de zones humides quasi continue. Il s'étend sur 10 km environ du linéaire côtier de la plaine orientale et avec ses 110 ha, il est le quatrième plus grand étang de Corse. La lagune, de faible profondeur, est en communication temporaire avec la mer grâce à un grau semi-naturel, situé à l'extrémité sud du lido. Ce grau est ouvert annuellement par Julien Cugurno, seul pêcheur et gardien des lieux, pour les besoins de son activité de pêche de l'anguille principalement et de la fabrication de la poutargue. Mais, l'étang de Palu est aussi un véritable refuge pour es espèces migratrices flamants roses (i flamenghi) ou encore les canards milouins ( i ciuttoni), observés grâce à des longues vues.
En effet, le jeune public a mieux appréhendé le site de l'étang de PAlu, d'une superficie DE 212 ha, et qui s'inscrit dans une série de zones humides quasi continue. Il s'étend sur 10 km environ du linéaire côtier de la plaine orientale et avec ses 110 ha, il est le quatrième plus grand étang de Corse. La lagune, de faible profondeur, est en communication temporaire avec la mer grâce à un grau semi-naturel, situé à l'extrémité sud du lido. Ce grau est ouvert annuellement par Julien Cugurno, seul pêcheur et gardien des lieux, pour les besoins de son activité de pêche de l'anguille principalement et de la fabrication de la poutargue. Mais, l'étang de Palu est aussi un véritable refuge pour es espèces migratrices flamants roses (i flamenghi) ou encore les canards milouins ( i ciuttoni), observés grâce à des longues vues.
Imaginez l'émerveillement des enfants ! Mais n'oublions pas l'imposant héron centré (a crochja) ou la bavarde foulque macroule (a folca). L'agent du Parc, toujours très pédagogue, a appris aux enfants à observer et à respecter la flore de cette zone humide indispensable à la survie de ces espèces dans un écosystème très fragile.
En fin de journée, une halte au milieu du maquis a permis aux élèves de s'exercer également à la lecture de paysages. Des aiguilles de Bavella à la vallée du Tavignani, que de lieux et de noms propres à la toponymie.
C'est la tête pleine d'images magnifiques et de bonnes résolutions pour la préservation de la nature que les élèves ont dit au revoir à leur guide avec sans doute l'envie de le retrouver prochainement.
En fin de journée, une halte au milieu du maquis a permis aux élèves de s'exercer également à la lecture de paysages. Des aiguilles de Bavella à la vallée du Tavignani, que de lieux et de noms propres à la toponymie.
C'est la tête pleine d'images magnifiques et de bonnes résolutions pour la préservation de la nature que les élèves ont dit au revoir à leur guide avec sans doute l'envie de le retrouver prochainement.