Je ne me lasserai jamais de cette vue’’ s’enthousiasme Fabien Fenninger. Entre les reflets bleus et dorés de la mer, et le dégradé de verts de la végétation, la vue est exceptionnelle. Il y a quelques semaines, Fabien a ouvert sa maison d’hôte, A Vignarella, perchée sur la montagne.
« Cette maison, c’est celle de mes arrière-arrière grands-parents » explique-t-il. En 1910, ses aïeux se cotisent, avec leurs cinq enfants pour faire construire cette grande bâtisse de 18 pièces, la Casa Nova. Habitée jusqu’en 1950, elle est restée quasiment inoccupée jusqu’en 2009. C’est là que Fabien Fenninger entreprend de restaurer entièrement le domaine. « C’est une maison que j’ai toujours connue, mais en ruines » déplore-t-il.
« Cette maison, c’est celle de mes arrière-arrière grands-parents » explique-t-il. En 1910, ses aïeux se cotisent, avec leurs cinq enfants pour faire construire cette grande bâtisse de 18 pièces, la Casa Nova. Habitée jusqu’en 1950, elle est restée quasiment inoccupée jusqu’en 2009. C’est là que Fabien Fenninger entreprend de restaurer entièrement le domaine. « C’est une maison que j’ai toujours connue, mais en ruines » déplore-t-il.
10 ans de rénovation
Malgré de longues démarches administratives, l’hôtelier ne se décourage pas et réussit à rénover la maison à la hauteur de ce qu’il imaginait. La bâtisse est immense : 5 chambres avec salles de bains individuelles, salon, piscine, cuisine d’été, équipements de sport… Dans le petit jardin paisible et coloré devant la villa, on se laisse bercer par le seul murmure du vent dans les branches. Les façades rénovées grâce aux murs initiaux rappellent ces grandes maisons de famille. Les pierres anciennes, la porte en bois d’origine, on s’y croirait. Quant à l’intérieur, Fabien en a fait un espace très moderne, soulignant ainsi avec élégance les éléments authentiques qu’il a choisi de garder : la cheminée, les pierres de l’escalier… « Je voulais une déco sobre et raffinée » souligne-t-il. Et ce, jusque sur la terrasse en bois ! Spacieuse, elle accueille une large piscine et une cuisine d’été équipée, dont les visiteurs ont la jouissance. Dans ce décor contemporain, se détache la grande demeure aux pierres claires. L’équilibre est respecté à la perfection.
Les chambres d’hôtes se répartissent entre le rez-de-chaussée et le premier étage. Chacune nous accueille dans un univers différent : années cinquante ou 80, art déco, orient ou bohème. Au travers de celles-ci, Fabien Fenninger a également choisi de faire un clin d’œil à la fratrie des cinq enfants de San Matteo Moracchini, son arrière-arrière-grand-père. On y retrouve Jean, Noël, Eugénie, Camille et Lucie, son arrière-grand-mère. En grimpant le petit escalier de pierre, on imagine ce qu’a pu représenter cette charmante maison pour la famille de Fabien. Aujourd’hui, l’hôtelier vit au deuxième étage et souhaite conserver sa fonction principale de maison de famille. « J’aime vraiment faire de nouvelles rencontres et partager des moments avec les visiteurs, c’est ce qui me plaît dans l’hôtellerie » explique-t-il avec un grand sourire chaleureux.
Tout au long des travaux, l’hôtelier a pris des photos de l’évolution du projet. « Il faut penser qu’au début, c’était une ruine, sans toit, avec des arbres au milieu » se souvient-il. Il ne manque pas d’envoyer les clichés à ses cousins et aux indivisaires, ravis de ce changement et reconnaissants.
« C’est un petit paradis ! J’y reviendrai, c’est certain » insiste Sylvain Sourisseau, en prenant son petit-déjeuner au bord de l’eau. Pour ce Nantais, le gîte en lui-même est exceptionnel, tout comme sa situation. « On se trouve dans un vrai petit village de montagne, tout en étant à une vingtaine de minutes de la mer, c’est fabuleux ! » Ce qui l’a décidé, c’est l’histoire de la maison, mise en avant sur le site des chambres d’hôte.
La maison A Vignarella est ouverte aux réservations du 15 avril au 15 octobre et propose 4 chambres, ainsi qu’une suite.
Les chambres d’hôtes se répartissent entre le rez-de-chaussée et le premier étage. Chacune nous accueille dans un univers différent : années cinquante ou 80, art déco, orient ou bohème. Au travers de celles-ci, Fabien Fenninger a également choisi de faire un clin d’œil à la fratrie des cinq enfants de San Matteo Moracchini, son arrière-arrière-grand-père. On y retrouve Jean, Noël, Eugénie, Camille et Lucie, son arrière-grand-mère. En grimpant le petit escalier de pierre, on imagine ce qu’a pu représenter cette charmante maison pour la famille de Fabien. Aujourd’hui, l’hôtelier vit au deuxième étage et souhaite conserver sa fonction principale de maison de famille. « J’aime vraiment faire de nouvelles rencontres et partager des moments avec les visiteurs, c’est ce qui me plaît dans l’hôtellerie » explique-t-il avec un grand sourire chaleureux.
Tout au long des travaux, l’hôtelier a pris des photos de l’évolution du projet. « Il faut penser qu’au début, c’était une ruine, sans toit, avec des arbres au milieu » se souvient-il. Il ne manque pas d’envoyer les clichés à ses cousins et aux indivisaires, ravis de ce changement et reconnaissants.
« C’est un petit paradis ! J’y reviendrai, c’est certain » insiste Sylvain Sourisseau, en prenant son petit-déjeuner au bord de l’eau. Pour ce Nantais, le gîte en lui-même est exceptionnel, tout comme sa situation. « On se trouve dans un vrai petit village de montagne, tout en étant à une vingtaine de minutes de la mer, c’est fabuleux ! » Ce qui l’a décidé, c’est l’histoire de la maison, mise en avant sur le site des chambres d’hôte.
La maison A Vignarella est ouverte aux réservations du 15 avril au 15 octobre et propose 4 chambres, ainsi qu’une suite.