Géographie
Ils n'avaient certainement pas conscience d'être pionniers. et pourtant, les élèves des écoles de Travu ont été les premiers à inaugurer les temps d'activités périscolaires, les fameux TAP, qui ont fait couler tant d'encre et de salive. Car à Ventiseri, on avait choisi d'expérimenter le jour même de la rentrée le nouveau dispositif imposé par la réforme des rythmes scolaires.
Les deux tiers des 291 enfants qui fréquentent l'établissement - maternelle et élémentaires - étaient inscrits. Et si du côté de la municipalité, on ressentait une certaine appréhension, les petits, eux, n'ont guère boudé leur plaisir.
Pour cette demi-journée inaugurale, une douzaine d'animateurs étaient présents. Pour pratiquement autant d'activités proposées, de la maternelle au primaire. Du sport, bien sûr, pour les grands, mais aussi de la vannerie, des arts plastiques, des échecs, de l'informatique et même de la cuisine. Chez les petits, un atelier bibliothèque, de l'éveil à la langue anglaise et diverses animations étaient au programme.
Et s'il y a probablement eu quelques cafouillages, les enfants, eux ne s'en sont guère aperçus. "Cette première demi-journée nous a permis d'établir des réajustements au niveau de l'organisation et tout le monde joué le jeu", explique Maria Dumenica Valentini, responsable des services à la municipalité, particulièrement soulagée à l'issue de l'après-midi. "Les enfants étaient contents, les intervenants aussi et nous espérons que ça se passera comme ça tout au long de l'année".
Près de 200 gamins à gérer dans un même lieu - l'essentiel des activités se tient à l'école ou dans ses environs immédiats - ce n'est pas évident. Mais, les animateurs sont rompus à l'encadrement et ils ont pu compter sur le soutien des personnels communaux.
Les deux tiers des 291 enfants qui fréquentent l'établissement - maternelle et élémentaires - étaient inscrits. Et si du côté de la municipalité, on ressentait une certaine appréhension, les petits, eux, n'ont guère boudé leur plaisir.
Pour cette demi-journée inaugurale, une douzaine d'animateurs étaient présents. Pour pratiquement autant d'activités proposées, de la maternelle au primaire. Du sport, bien sûr, pour les grands, mais aussi de la vannerie, des arts plastiques, des échecs, de l'informatique et même de la cuisine. Chez les petits, un atelier bibliothèque, de l'éveil à la langue anglaise et diverses animations étaient au programme.
Et s'il y a probablement eu quelques cafouillages, les enfants, eux ne s'en sont guère aperçus. "Cette première demi-journée nous a permis d'établir des réajustements au niveau de l'organisation et tout le monde joué le jeu", explique Maria Dumenica Valentini, responsable des services à la municipalité, particulièrement soulagée à l'issue de l'après-midi. "Les enfants étaient contents, les intervenants aussi et nous espérons que ça se passera comme ça tout au long de l'année".
Près de 200 gamins à gérer dans un même lieu - l'essentiel des activités se tient à l'école ou dans ses environs immédiats - ce n'est pas évident. Mais, les animateurs sont rompus à l'encadrement et ils ont pu compter sur le soutien des personnels communaux.
Gratuité totale pour les résidents
Auprès des plus petits, par exemple, les précieuses aides maternelles Christina Mannino, Josette Louis, Vaninna Giudicelli, Katia LE Corre et Séverine Marchetti se sont transformées en conteuses ou en marionnettistes pour l'occasion.
Du côté des intervenants extérieurs, placés sous la coordination de Bruno Pernin qui assure les sports collectifs, l'engagement et l'enthousiasme étaient au rendez vous. Rémy et Marciana Jinvresse (judo), Laurence Lucchini (danse), Charles Pagliai (Rugby), Noelle Figarella (vannerie), Sandrine Mondary (arts), Marie-Noelle Stolfi (échecs), Simone Fenocchi (cuisine) Marlène Andréani et Myriam Raeth (informatique), Suzanne Dechavaille (éveil Anglais) et Jeanny Batut (bibliothèque) ont vraiment bien rempli leur mission.
Autour du maire François Tiberi qui a assisté à cette séance inaugurale et de Maria Dumenica Valentini, Estelle Millelliri, employée communale, veillait à la bonne marche des activités. Elle est également en charge de la liaison avec les parents.
Rappelons que les TAP sont gratuits pour les enfants résidant dans la commune. Pour ceux qui viennent des localités limitrophes, une participation de 10 euros par cycle - c'est à dire entre deux vacances scolaires - est demandée, soit au maximum 50 euros pour l'année. "Mais, les parents ne sont pas obligés de les inscrire à chaque cycle", précise Maria Dumenica Valentini, qui rappelle également que la participation au TAP repose sur le volontariat des familles.
Le mot de la fin au maire de Ventiseri, François Tiberi le reconnaît, le dispositif n'a pas été facile à mettre en oeuvre. Le coût pour la municipalité est conséquent. Et la responsabilité est grande. "C'est lourd, onéreux et ça nous a demandés des mois de travail. Cela va nous coûter entre 60 000 et 70 000 euros pour l'intervention des animateurs, l'achat de matériel et les charges. Et nous n'avons pas encore le recul nécessaire pour évaluer les frais supplémentaires que cette réforme pourra engendrer. Mais, maintenant, tout est en place et on respire. Les enfants sont contents et c'est finalement tout ce qui compte !"
Du côté des intervenants extérieurs, placés sous la coordination de Bruno Pernin qui assure les sports collectifs, l'engagement et l'enthousiasme étaient au rendez vous. Rémy et Marciana Jinvresse (judo), Laurence Lucchini (danse), Charles Pagliai (Rugby), Noelle Figarella (vannerie), Sandrine Mondary (arts), Marie-Noelle Stolfi (échecs), Simone Fenocchi (cuisine) Marlène Andréani et Myriam Raeth (informatique), Suzanne Dechavaille (éveil Anglais) et Jeanny Batut (bibliothèque) ont vraiment bien rempli leur mission.
Autour du maire François Tiberi qui a assisté à cette séance inaugurale et de Maria Dumenica Valentini, Estelle Millelliri, employée communale, veillait à la bonne marche des activités. Elle est également en charge de la liaison avec les parents.
Rappelons que les TAP sont gratuits pour les enfants résidant dans la commune. Pour ceux qui viennent des localités limitrophes, une participation de 10 euros par cycle - c'est à dire entre deux vacances scolaires - est demandée, soit au maximum 50 euros pour l'année. "Mais, les parents ne sont pas obligés de les inscrire à chaque cycle", précise Maria Dumenica Valentini, qui rappelle également que la participation au TAP repose sur le volontariat des familles.
Le mot de la fin au maire de Ventiseri, François Tiberi le reconnaît, le dispositif n'a pas été facile à mettre en oeuvre. Le coût pour la municipalité est conséquent. Et la responsabilité est grande. "C'est lourd, onéreux et ça nous a demandés des mois de travail. Cela va nous coûter entre 60 000 et 70 000 euros pour l'intervention des animateurs, l'achat de matériel et les charges. Et nous n'avons pas encore le recul nécessaire pour évaluer les frais supplémentaires que cette réforme pourra engendrer. Mais, maintenant, tout est en place et on respire. Les enfants sont contents et c'est finalement tout ce qui compte !"
