Géographie
Si pour l’équipe de l’ALSH l’Arghjetu, l’organisation de ces congés d’hiver a relevé du casse-tête, les enfants, eux, en ont bien profité. Même si les habitués ont certainement remarqué des changements dans le planning, ces garçons et filles, âgés de 6 à 10 ans, ont eu droit à des vacances actives, même masquées. Hier matin, en cet avant-dernier jour d’ouverture, Bruno Pernin, directeur de la structure, et son équipe étaient plutôt satisfaits. Soulagés même. Car, au départ, rien ne semblait évident. « En fait, nous avons lancé une petite enquête, environ un mois avant l’échéance, auprès des familles qui nous confient habituellement leurs enfants. Notre objectif était de connaître, à la louche, le taux de fréquentation avant de décider d’ouvrir ou pas, rappelle Bruno Pernin. Nous avons un public spécifique sur la commune, avec beaucoup de ménages dont les deux parents travaillent. Si certains s’étaient organisés autrement, d’autres n’avaient pas de solution de garde. Nous avons donc choisi d’accueillir les enfants fréquentant le groupe scolaire de Travu. » Les collégiens, eux, n’ont pas été acceptés mais ce n’est pas dans cette tranche d’âge que la demande est la plus forte.
En espérant une embellie printanière
Même si le protocole établi pour les centres de loisirs est un peu différent de celui en vigueur dans les écoles, il impose aussi de nombreuses contraintes. Les enfants ont été répartis en plusieurs groupes, par tranches d’âge, qui n’avaient pas d’interactions entre eux.
Pour ceux qui déjeunaient sur place, c’était toujours à la même table, à la même place et avec les mêmes copains. Chaque groupe avait ses propres activités, ses propres jeux, ses propres livres. Autre différence notable avec les vacances habituelles, certaines activités hors les murs du centre n’ont pas été possibles. Et pour cause, les structures qui accueillent habituellement la joyeuse bande étaient fermées. « Nous programmons toujours des séances de cinéma, de bowling, de piscine. Là, ce n’était pas permis. Mais nous avons quand même pu organiser des journées à l’extérieur du centre, à Pinia et à Fautea, de la randonnée, des promenades équestres. La météo s’étant montrée très favorable, les initiations sportives à l’extérieur ont aussi été faciles », développe le directeur de l’ALSH.
C’est autour du thème Road trip dans l’Ouest américain que ces deux semaines de vacances se sont déroulées. Avec une légère érosion des effectifs mais un taux de fréquentation qui est resté satisfaisant. « La première semaine, nous avons accueilli jusqu’à 32 enfants alors que notre jauge est à 36 maximum. Cette semaine, ils ont été une vingtaine chaque jour. Nous avons donc eu raison d’ouvrir », détaille Bruno Pernin qui espère que pour les congés de printemps, une embellie se dessinera. En attendant, avec ses collègues Stéphanie Serra et Géraldine Grundrieck qui le secondent, il continuera d’animer les mercredis et les temps périscolaires à proximité du groupe scolaire de Travu. Toujours dans le respect des consignes sanitaires et dans la bonne humeur.
Pour ceux qui déjeunaient sur place, c’était toujours à la même table, à la même place et avec les mêmes copains. Chaque groupe avait ses propres activités, ses propres jeux, ses propres livres. Autre différence notable avec les vacances habituelles, certaines activités hors les murs du centre n’ont pas été possibles. Et pour cause, les structures qui accueillent habituellement la joyeuse bande étaient fermées. « Nous programmons toujours des séances de cinéma, de bowling, de piscine. Là, ce n’était pas permis. Mais nous avons quand même pu organiser des journées à l’extérieur du centre, à Pinia et à Fautea, de la randonnée, des promenades équestres. La météo s’étant montrée très favorable, les initiations sportives à l’extérieur ont aussi été faciles », développe le directeur de l’ALSH.
C’est autour du thème Road trip dans l’Ouest américain que ces deux semaines de vacances se sont déroulées. Avec une légère érosion des effectifs mais un taux de fréquentation qui est resté satisfaisant. « La première semaine, nous avons accueilli jusqu’à 32 enfants alors que notre jauge est à 36 maximum. Cette semaine, ils ont été une vingtaine chaque jour. Nous avons donc eu raison d’ouvrir », détaille Bruno Pernin qui espère que pour les congés de printemps, une embellie se dessinera. En attendant, avec ses collègues Stéphanie Serra et Géraldine Grundrieck qui le secondent, il continuera d’animer les mercredis et les temps périscolaires à proximité du groupe scolaire de Travu. Toujours dans le respect des consignes sanitaires et dans la bonne humeur.
